Les femmes Maasaï sont à la tête de la resistance face à l'accaparement de leurs terres.
Le plan était simple: vendre une partie des célèbres plaines du Serengeti puis évacuer 40 000 Maasaï de leurs terres ancestrales pour les transformer en réserve de luxe pour la chasse au gros gibier. Ces plaines qui fourmillent de lions, de léopards, d'éléphants, de gnous, de zèbres et de buffles, risquaient d'être vendues à la Ortelo Business Corporation, basée à Dubaï, pour devenir un terrain de chasse.
Confronté à la pression populaire, le président tanzanien a renoncé à l'accord qui prévoyait la saisie des terres et assuré à la population Maasaï qu'elle était en sécurité sur son territoire.
Mais on ne peut pas faire confiance au gouvernement tanzanien. En 2013, après une imposante campagne d'opposition locale et internationale, le président de la Tanzanie a promis aux Maasaï qu'ils pouvaient rester sur leurs terres. Malgré tout, en fin d'année dernière, le gouvernement a fait volte-face et leur a dit que l'accord était relancé et qu'ils devaient quitter leur territoire ancestral d'ici la fin de l'année.
Comme le président tanzanien a déjà reculé sur ses promesses par le passé, nous ne baisserons pas les bras tant que le gouvernement tanzanien ne garantira pas par écrit aux Maasaï des droits permanents sur leurs terres.
Demandez au président de la Tanzanie de tenir sa promesse et de garantir par écrit aux Maasaï des droits permanents sur leurs terres.
Les Maasaï résistent depuis des décennies à la commercialisation de leurs terres traditionnelles. Ils se battent contre des investisseurs avides de profits qui convoitent l'extraordinaire faune de la région et essaient d'obtenir des permis de chasse et de tourisme. L'histoire ne cesse de se répéter: on fait des promesses, mais on ne les respecte malheureusement pas.
Le sage Ole Kulinga, un dirigeant traditionnel Maasaï, explique: "Nous ne sommes rien sans nos terres, et cet engagement de la part du président nous permet tous et toutes de pousser un soupir de soulagement. Mais les chasseurs veulent ce territoire à tout prix, et nous ne nous sentirons en sécurité que lorsque des droits permanents sur nos terres nous seront octroyés par écrit."
Beaucoup d'argent était en jeu dans la transaction prévue avec Dubaï. Les personnes sur le terrain qui s'opposent à la réserve de chasse depuis maintenant deux ans ont été menacées, et certaines ont même été tuées. Maintenant que le président s'est prononcé et que l'attention de la communauté internationale a été attirée sur le sort de la population Maasaï, c'est notre chance de montrer au grand jour la trahison du gouvernement tanzanien et de le forcer à tenir ses promesses. S'il vous plaît, soutenez les Maasaï, qui pourraient tout perdre, et aidez-les à conserver leurs terres ancestrales.
Signez la pétition adressée au président de la Tanzanie qui lui demande de mettre ses promesses par écrit, et ce, DÈS MAINTENANT.
http://action.sumofus.org/fr/a/serengeti-land-grab-french/?akid=20035.11646325.2GLLnk&rd=1&sub=fwd&t=1
Le plan était simple: vendre une partie des célèbres plaines du Serengeti puis évacuer 40 000 Maasaï de leurs terres ancestrales pour les transformer en réserve de luxe pour la chasse au gros gibier. Ces plaines qui fourmillent de lions, de léopards, d'éléphants, de gnous, de zèbres et de buffles, risquaient d'être vendues à la Ortelo Business Corporation, basée à Dubaï, pour devenir un terrain de chasse.
Confronté à la pression populaire, le président tanzanien a renoncé à l'accord qui prévoyait la saisie des terres et assuré à la population Maasaï qu'elle était en sécurité sur son territoire.
Mais on ne peut pas faire confiance au gouvernement tanzanien. En 2013, après une imposante campagne d'opposition locale et internationale, le président de la Tanzanie a promis aux Maasaï qu'ils pouvaient rester sur leurs terres. Malgré tout, en fin d'année dernière, le gouvernement a fait volte-face et leur a dit que l'accord était relancé et qu'ils devaient quitter leur territoire ancestral d'ici la fin de l'année.
Comme le président tanzanien a déjà reculé sur ses promesses par le passé, nous ne baisserons pas les bras tant que le gouvernement tanzanien ne garantira pas par écrit aux Maasaï des droits permanents sur leurs terres.
Demandez au président de la Tanzanie de tenir sa promesse et de garantir par écrit aux Maasaï des droits permanents sur leurs terres.
Les Maasaï résistent depuis des décennies à la commercialisation de leurs terres traditionnelles. Ils se battent contre des investisseurs avides de profits qui convoitent l'extraordinaire faune de la région et essaient d'obtenir des permis de chasse et de tourisme. L'histoire ne cesse de se répéter: on fait des promesses, mais on ne les respecte malheureusement pas.
Le sage Ole Kulinga, un dirigeant traditionnel Maasaï, explique: "Nous ne sommes rien sans nos terres, et cet engagement de la part du président nous permet tous et toutes de pousser un soupir de soulagement. Mais les chasseurs veulent ce territoire à tout prix, et nous ne nous sentirons en sécurité que lorsque des droits permanents sur nos terres nous seront octroyés par écrit."
Beaucoup d'argent était en jeu dans la transaction prévue avec Dubaï. Les personnes sur le terrain qui s'opposent à la réserve de chasse depuis maintenant deux ans ont été menacées, et certaines ont même été tuées. Maintenant que le président s'est prononcé et que l'attention de la communauté internationale a été attirée sur le sort de la population Maasaï, c'est notre chance de montrer au grand jour la trahison du gouvernement tanzanien et de le forcer à tenir ses promesses. S'il vous plaît, soutenez les Maasaï, qui pourraient tout perdre, et aidez-les à conserver leurs terres ancestrales.
Signez la pétition adressée au président de la Tanzanie qui lui demande de mettre ses promesses par écrit, et ce, DÈS MAINTENANT.
http://action.sumofus.org/fr/a/serengeti-land-grab-french/?akid=20035.11646325.2GLLnk&rd=1&sub=fwd&t=1