Dans le cadre de la stratégie « Animal en ville », la Ville de Paris s’est engagée à ne plus autoriser d’animaux sauvages dans les spectacles des cirques parisiens.
Aujourd’hui, la ville de Paris s’est engagée publiquement à ne donner aucune autorisation d’installation dès 2020 aux cirques qui présenteront des spectacles avec animaux sauvages. La ville a souhaité interpeller l’État afin qu’il « prenne position sur un arrêt des spectacles avec animaux sauvages à un horizon rapproché ».
Quels cirques concernés ?
La mairie de Paris a mentionné que certains cirques comme Arlette Gruss n’ont pas souhaité « s’engager à court terme dans une transition dans l’attente des propositions du gouvernement ». A contrario, le cirque Pinder a été désigné comme ayant montré « son intérêt de s’engager vers des spectacles sans animaux sauvages sous trois ans maximum ».
Contacté par Ouest-France, le cirque Arlette Gruss a souhaité rappeler qu’il n’était « pas légal » pour les mairies d’interdire les cirques. « Ce n’est pas la compétence des mairies d’interdire et nous n’avons pas attendu l’arrivée des élections municipales pour nous préoccuper du bien être des animaux. »
Les animaux du cirque Gruss ont diminué peu à peu dans les spectacles « puisque le cirque a pris la décision de ne plus récupérer d’animaux dans leur milieu naturel ». Interrogé sur les animaux trop vieux ou qui ne travaillent plus, le cirque vante leurs vingt-cinq hectares de terrain, où « les animaux y sont placés en semi-liberté. Ils peuvent courir à leur aise et sont suivis par deux soigneurs en permanence, jusqu’à leur mort ».
Dans ce terrain de la Fontaines-Saint-Martin (Rhône), une panthère, des chameaux, des zèbres, des chevaux ou encore des lamas. Cette année « il ne reste plus que six lionnes » dans les spectacles, et « à terme, il n’y en aura plus ».
https://amp.ouest-france.fr/culture/arts/cirque/les-animaux-sauvages-dans-les-cirques-parisiens-c-est-termine-6609984?__twitter_impression=true&fbclid=IwAR3jPWmEAowh7clyVftJB5FmMc8h-Y77tmv4VNzHsdJt3YMjKRPKnmiQuEA
Aujourd’hui, la ville de Paris s’est engagée publiquement à ne donner aucune autorisation d’installation dès 2020 aux cirques qui présenteront des spectacles avec animaux sauvages. La ville a souhaité interpeller l’État afin qu’il « prenne position sur un arrêt des spectacles avec animaux sauvages à un horizon rapproché ».
Quels cirques concernés ?
La mairie de Paris a mentionné que certains cirques comme Arlette Gruss n’ont pas souhaité « s’engager à court terme dans une transition dans l’attente des propositions du gouvernement ». A contrario, le cirque Pinder a été désigné comme ayant montré « son intérêt de s’engager vers des spectacles sans animaux sauvages sous trois ans maximum ».
Contacté par Ouest-France, le cirque Arlette Gruss a souhaité rappeler qu’il n’était « pas légal » pour les mairies d’interdire les cirques. « Ce n’est pas la compétence des mairies d’interdire et nous n’avons pas attendu l’arrivée des élections municipales pour nous préoccuper du bien être des animaux. »
Les animaux du cirque Gruss ont diminué peu à peu dans les spectacles « puisque le cirque a pris la décision de ne plus récupérer d’animaux dans leur milieu naturel ». Interrogé sur les animaux trop vieux ou qui ne travaillent plus, le cirque vante leurs vingt-cinq hectares de terrain, où « les animaux y sont placés en semi-liberté. Ils peuvent courir à leur aise et sont suivis par deux soigneurs en permanence, jusqu’à leur mort ».
Dans ce terrain de la Fontaines-Saint-Martin (Rhône), une panthère, des chameaux, des zèbres, des chevaux ou encore des lamas. Cette année « il ne reste plus que six lionnes » dans les spectacles, et « à terme, il n’y en aura plus ».
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