Pétition adressée à Monsieur le procureur de Chalon-sur-Saône
Monsieur le procureur :
Militante pour faire enfin reconnaître le crime contre les animaux dans le code pénal et auteure de nombreuses pétitions visant à faire condamner les tortionnaires : je vous demande de prononcer une peine exemplaire à l'encontre de la femme (éleveuse non professionnelle) qui a donné la mort au berger allemand "Fudji" : on ne peut plus laisser passer de telles atrocités en 2018 : cette femme est une criminelle et récidivera sur d'autres animaux et/ou humains si vous n'êtes pas intransigeant à son encontre.
Les signataires et moi-même réclamons l'application pure et simple de l'article 521-1 du code pénal :
2 ans de prison ferme, amende conséquente et interdiction définitive de détenir des animaux de compagnie.
Le 3 septembre, c'est un procès à la hauteur du CRIME que nous réclamons : pas de sursis, pas de peines dérisoires de 2 ou 3 mois ferme : NON ! APPLIQUEZ la loi à la lettre.
Recevez, Monsieur le procureur, l'expression de ma haute considération : Gabrielle Paillot militante indépendante, bénévole, passionnée.
Lire ici
Lire l'article sur Fudji
Signez la pétition
Monsieur le procureur :
Militante pour faire enfin reconnaître le crime contre les animaux dans le code pénal et auteure de nombreuses pétitions visant à faire condamner les tortionnaires : je vous demande de prononcer une peine exemplaire à l'encontre de la femme (éleveuse non professionnelle) qui a donné la mort au berger allemand "Fudji" : on ne peut plus laisser passer de telles atrocités en 2018 : cette femme est une criminelle et récidivera sur d'autres animaux et/ou humains si vous n'êtes pas intransigeant à son encontre.
Les signataires et moi-même réclamons l'application pure et simple de l'article 521-1 du code pénal :
2 ans de prison ferme, amende conséquente et interdiction définitive de détenir des animaux de compagnie.
Le 3 septembre, c'est un procès à la hauteur du CRIME que nous réclamons : pas de sursis, pas de peines dérisoires de 2 ou 3 mois ferme : NON ! APPLIQUEZ la loi à la lettre.
Recevez, Monsieur le procureur, l'expression de ma haute considération : Gabrielle Paillot militante indépendante, bénévole, passionnée.
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